L’être humain est désormais réduit
à un simple produit de consommation,
au même titre que n'importe quel bien de marchandise.
La femme, objet de désir par excellence, n'est plus qu'un instrument au service de la satisfaction d'un appétit insatiable. Une course effrénée à la consommation se poursuit, jusqu'à l'excès, voir l’overdose. Cette objectivation des femmes conduit inévitablement à une déshumanisation, où leur essence même, se voit progressivement vidée et réduite à un simple corps, consommable et jetable.